Derrière le concours Miss Littérature, vitrine de l’intelligence et de l’éloquence féminine en Afrique, se trouve une équipe passionnée. Issus de plusieurs pays du continent, ces femmes et hommes œuvrent sans relâche à faire de ce projet un espace de promotion de la lecture, de l’écriture et de l’engagement culturel.

Carmen Fifamè Toudonou, journaliste, écrivaine béninoise et docteure en linguistique et communication, est une figure centrale de l’initiative. Autrice de douze ouvrages, elle est aussi finaliste du Prix Ahmadou Kourouma au Salon du livre de Genève et incarne la rigueur académique au service de la littérature.

Me Nomaye Clarisse, écrivaine et avocate tchadienne, combine expertise juridique et plume littéraire. Elle dirige un cabinet à N’Djamena et est l’autrice de plusieurs romans et recueils de nouvelles. Elle assume le rôle de responsable déléguée du concours au Tchad.

Fernando Deumaga, entrepreneur social camerounais, coordonne l’Association pour la Promotion des Bibliothèques Rurales (ASPROBIR-Cam). Il agit aussi en tant qu’ambassadeur de la maison d’édition américaine Nouveaux Horizons, et supervise le concours au Cameroun.

Fatima Koné, ambassadrice du livre à Conakry et promotrice du club-IRIS, est une figure médiatique connue en Guinée. Lauréate de concours de beauté et chroniqueuse télé, elle dirige désormais la version guinéenne du concours.

Safiatou M’bouillé Fofana, actrice et activiste malienne, coordonne l’initiative au Mali. Elle est également impliquée dans le Club des Lecteurs du Mali, renforçant le lien entre arts et littérature.

Triphène Juvalaise Tamba Bonazebi, Congolaise, est engagée dans le développement communautaire. Étudiante en économie du développement, elle a remporté le Prix Engagement Communautaire Congo/Gabon et coordonne les activités du concours au Congo.

Idrissa Soré, poète et formateur burkinabé, a publié Le destin tragique d’Angèle. Spécialiste en agriculture et TIC, il défend la lecture et l’écriture comme outils de transformation sociale au Burkina Faso.

Jules Degni, écrivain et professeur ivoirien, critique littéraire et éditeur, est le responsable du concours en Côte d’Ivoire. Sa double expertise pédagogique et éditoriale en fait un pilier de l’organisation.

Enfin, Salamata Ousmane Diallo, journaliste et critique d’émissions littéraires, incarne l’ancrage sénégalais du projet. Elle est responsable du concours au Sénégal.

Miss Littérature est donc une aventure collective portée par des profils variés, tous unis par une même passion : faire rayonner la culture, célébrer la parole des jeunes filles et bâtir une Afrique lettrée et audacieuse.